* La lettre originale avec ces allégations envoyée à tous les membres de la Commission de la Santé et de l'Egalité des Chances de la Chambre se trouve à la fin de cet document.
Je réponds ici à l'attaque ad hominem et à la campagne de dénigrement menées par un certain nombre d'universitaires belges dont le seul objectif semble être de discréditer mon expérience professionnelle et mes connaissances scientifiques dans le domaine de l'immunologie, de lavaccinologie et de la virologie.
Je note tout d'abord qu'il s'agit d'une énième tentative de la part d'un certain nombre d'universitaires de s'affirmer en ignorant impitoyablement tout savoir, toute expertise ou toute connaissance scientifique qui n'est pas fondé sur la seule norme qu'ils connaissent et maintiennent, à savoir leurs publications dans des revues à comité de lecture. Ce faisant, ils s'octroient un certificat de myopie. Ces universitaires belges n'ont apparemment toujours pas compris que les publications seules ne sont pas une solution aux problèmes de santé complexes. Après tout, où sont les publications de ces conspirateurs, financées en grande partie par l'argent des contribuables, qui ont apporté une contribution concrète à la résolution de problèmes sanitaires? En d'autres termes, quelle contribution apportent-ils à la société en échange des fonds qu'ils utilisent pour satisfaire leur ambition scientifique?Ils témoignent d'une mentalité complètement obsolète qui continue à croire en une science inductive. Ils génèrent des données et en tirent des conclusions théoriques qui ne peuvent que très rarement être traduites en une solution utile à la société. Il y a une douzaine d'années, j’ai ainsi décidé d'adopter une approche complètement différente, car je me suis rendu compte que la science déductive, était un moyen plus efficace que la science inductive pour aborder les problèmes complexes.
J'essaie de résoudre des problèmes complexes en partant de vérités fondamentales issues des différentes disciplines impliquées dans un problème complexe (par exemple, comprendre la pathogénèse et concevoir des interventions immunitaires universelles plutôt qu'une immunisation spécifique à un agent pathogène ou personnalisée; analyser les interactions entre les agents pathogènes et le système immunitaire pour prédire l'évolution d'une pandémie). Sur cette base, je construis une hypothèse dont je teste la plausibilité scientifique en vérifiant la compatibilité des différentes pièces du puzzle des divers sous-domaines sur base de mes propres connaissances et expériences, ainsi que de diverses sources écrites.
En d'autres termes, les publications ne sont, pour moi, pas un objectif en soi (comme c'est en revanche le cas pour ces universitaires) ; je les utilise uniquement comme un instrument pour assembler les pièces du puzzle d'une manière scientifique.
Bien que cette stratégie ne débouche pas sur des publications universitaires, elle permet une approche holistique de la recherche et surtout de mieux comprendre les défis complexes, notamment ceux liés à la santé publique.
Elle permet également la pensée innovante et l’acquisition de connaissances nouvelles et critiques, même dans des domaines qui sont encore soumis à des dogmes et à des paradigmes rigides, notamment la vaccinologie. Il semblerait que, de cette manière, on soit catalogué comme dissident et méconnu des opportunistes du monde académique.
Ainsi, c'est moi qui, en tant que chef de projet dans l'industrie des vaccins, ai été critiqué pour m'être opposé à la poursuite du développement d'un vaccin contre l'herpès génital (HSV-2), dont je savais qu'il ne protégerait que contre les symptômes mais pas contre la transmission du virus et des conséquences qui en découlent.
Mon responsable de l'époque qui, jusqu'à récemment, était responsable de l'opération « Warp Speed », m'a ensuite muté au département R&D, où j'ai été chargé pendant des années de recherches spécifiques sur les adjuvants - au passage, il était évidemment hors de question de publier les résultats de ces recherches. Nonobstant, la firme a décidé de poursuivre le développement du vaccin jusqu'à ce que, de nombreuses années plus tard (je l'avais déjà quittée à ce moment-là), d'anciens collègues me disent que de nouvelles études avaient échoué pour exactement la même raison que j'avais énoncée à l'époque.
Cette même façon de travailler m'a conduit à dénoncer personnellement l'une des plus grandes bévues de l'histoire de la vaccinologie lors de la crise Ebola en Afrique de l'Ouest (2014-2016) - ceux que ça intéresse peuvent lire le rapport en suivant ce hyper lien : https://cdn.prod.website-files.com/616004c52e87ed08692f5692/61f65c43db047c9050ffe014_Critical_analysis_Ebola_vaccine_trial_GVB.pdf). Une fois de plus, j'ai été déclaré « dissident », mais le scandale était suffisamment petit pour pouvoir être étouffé.
Puis vint la pandémie de Covid-19. Je me sentais déjà bien préparé. Néanmoins, j'ai encore fait des recherches jour et nuit pendant deux mois avant d'envoyer mon appel à l’OMS pour en débattre.Ainsi, fort de ma passion pour les vaccins, je ne suis pas un novice lorsqu'il s'agit d'identifier clairement des contre-indications à leur utilisation. D'après les courriels de soutien que j'ai reçus d'anciens collègues (y compris d'éminents vaccinologues), des scientifiques prennent mes avertissements et mes prédictions au sérieux. Or, je constate avec tristesse que des universitaires bornés s'organisent pour tenter de détruire ma réputation. Le contenu scientifique que j'ai partagé n'a même pas d’importance, pour eux. Ou peut-être est-ce déjà au-delà de leurs capacités?Apparemment, aucun d'entre eux n'a jamais entendu parler d’évasion immunitaire, et encore moins -plus de dix ans après les premières publications - de l'existence d'anticorps innés, les deux principaux piliers sur lesquels repose ma compréhension de la pandémie.
En d'autres termes, quelle est leur contribution à l'analyse de la pandémie, quelles sont leurs prédictions et leurs idées et surtout... où sont leurs articles évalués par despairs sur cette pandémie? Où en est leur expérience internationale dans les différents sous-domaines? Qui, parmi eux, a jamais eu la moindre expérience en matière de vaccination contre les infections virales aiguës lors d'une pandémie?
Je respecte leur choix de se lancer dans la course aux publications de plus en plus nombreuses, mais ne pas avoir publié ne signifie pas que mon cerveau a pris des vacances prolongées sur la Côte. Au cours de ma carrière, j'ai acquis une expérience scientifique internationale et liée aux vaccins dans six pays différents, j'ai prononcé à plusieurs reprises des keynotes lors de conférences internationales sur lesvaccins (où je n'ai jamais vu beaucoup de ces personnes) et j'ai effectué un travail de pionnier dans l'industrie dans le domaine de l'analyse biophysique de nouveaux vaccins avec adjuvants.
Mon bagage scientifique diversifié m'a permis d'obtenir un green pass aux États-Unis en 2008 sur basede mes capacités et réalisations notables. Je dispose de lettres de recommandation (disponibles auprès de mon dernier employeur) de scientifiques et de vaccinologues dont les CV sont sans commune mesure avec ceux de ce groupe d’universitaires.
J’ai reçu la même reconnaissance de scientifiques et experts qui, eux, ont fait l'effort de comprendre mon analyse scientifique et qui ont un cursus dont ces universitaires ne pourraient même pas rêver dans leur imagination la plus folle (par exemple : Peter Mc Cullough, Paul Elias Alexander, PierreKory, Robert Malone, Jessica Rose, Robert Verkerk, Bret Weinstein, Byram Bridle etc).
Jusqu'où ces pharisiens hypocrites peuvent-ils s’abaisser pour commettre une telle cabale contre ma dignité personnelle et ma formation scientifique, alors qu'ils se cachent en sécurité dans leur tour d’ivoire, protégés par leurs institutions?
Aucun d'entre eux n'a jamais reçu d'invitation à travailler pour GAVI, et encore moins pour laFondation Bill & Melinda Gates ou toute autre institution aussi prestigieuse. Si c'était le cas, ils lâcheraient certainement immédiatement leurs titres universitaires et s’empresseraient d’y répondre.Ou alors cette clique de pauvres universitaires belges se ridiculise-t-elle au point de penser que l'industrie du vaccin peut se permettre d'engager des personnes scientifiquement non qualifiées à des postes aussi spécialisés?
La rédaction de publications est une bagatelle par rapport aux exigences qui y sont posées.
Je ne pense pas, d’ailleurs, qu'il y ait deux universitaires dans ce troupeau qui aient déjà prononcé des keynotes lors de conférences mondiales sur les vaccins, comme je l'ai régulièrement fait.
Quelle est, de surcroît, la crédibilité de leurs allégations, si l'on considère que, par le passé, certains de ces universitaires ont apparemment été capables d'apprécier ma contribution scientifique dans des échanges qui duraient souvent des heures.
Cette mafia de seconds couteaux pense apparemment qu'elle peut acquérir le monopole de la science sur la base de son statut académique et, à ce titre, servir de référence pour les informations partagées avec la population. Et ce, alors que pratiquement aucun d'entre eux ne s'est fait entendre pendant cette pandémie.
Ils sont désespérément à la traîne par rapport aux développements et aux données qui ont fait surface entre-temps; les États-Unis en particulier - comme cela a toujours été le cas dans le passé - montrant la voie.
Ils se noient désespérément dans leur ego et leurs idées et ne parviennent même plus à jeter un coup d'œil par-dessus le mur de leur prison mentale.
Tant que leur image scientifique reste intacte et que les fonds pour leurs recherches continuent à affluer, ils ne font preuve d’aucune évaluation critique de cette expérience vaccinale à grande échelle.Elle témoigne d'un immense manque de responsabilité sociale et de respect pour les gens qui sont constamment confrontés au récit officiel sans pouvoir comprendre les conséquences possibles d'une intervention aussi massive sur sa santé et celle de leurs semblables, y compris leurs propres enfants.
Ayant compris ce qui est en train de se passer, je ne peux pas laisser faire ça en me taisant; c'est donc la seule raison pour laquelle je réponds. Je suis moi-même à mille lieues de ces allégations sournoises.Lorsque je réponds moi-même aux conclusions d'un collègue scientifique, je le fais sur la base du contenu et non par des attaques ad hominem. À propos, il est particulièrement étrange qu'un groupe d'universitaires, qui ne veulent s'attribuer que le prédicat "scientifique", bafoue l'une des règles de base de la pensée scientifique. Il s'agit toujours du contenu de ce que quelqu'un dit, pas de la personne qui le dit. Les attaques ad hominem sont des sophismes, des sophismes de base, qui vont à l'encontre de toute forme de pensée logique que je considérerais comme appropriée pour un véritable scientifique.
Aucun de ces « scientifiques » n'a été prêt à entamer un débat, ni avec moi ni avec d'autres universitaires qui ont une vision un peu moins étroite. Il faut plus de courage pour entamer un débat avec nous que pour écrire une lettre sournoise à la commission dont le seul contenu est un argument fallacieux sur mon intégrité et dans le seul but d'essayer d'influencer la commission pendant l’audition.
Encore une fois : que ceux du troupeau qui ont au moins de l'expérience dans les sous-domaines pertinents (c'est-à-dire à la fois en immunologie, en virologie et en vaccinologie) entament un débat avec nous au lieu de se cacher derrière leur rideau académique unilatéral et monotone.
De cette manière, ils pourraient également faire connaître leur point de vue, leurs idées et leurs solutions au grand public et s'assurer que la compréhension scientifique de problèmes complexes est peut-être même l'apanage de ceux qui, entre autres, lisent de nombreuses publications, plutôt que de ceux dont le seul but est de se profiler avec le plus grand nombre de publications possible.
Si leur science est si convaincante, il est difficile de comprendre pourquoi ils ne prennent même pas la peine d'exprimer leur opinion dans l'intérêt de la santé publique par le biais des grands médias, dont -contrairement à nous - ils ne craignent pas la censure.
Ou bien acceptent-ils aveuglément et sans enthousiasme le récit qui est entre-temps courageusement diffusé par une poignée d’experts? Répondre chaque jour à des dizaines de questions de la population, réfuter les critiques négatives de fact checkers bien payés et partager des analyses et des prédictions holistiques via des médias non censurés et officiellement reconnus (comme TrialSite News),cela demande un peu plus d'esprit critique que d'observer les mouvements chroniques des vagues et d'avaler des prédictions et des perspectives, dont même ces universitaires savent d'avance qu'elles devront être révisées encore et encore.
Tout cela est censé être dû au fait que « la science évolue ». En réalité, c'est parce que nos experts manquent de perspicacité qu'ils ne sont guère plus performants que le présentateur météo ou le spéculateur en bourse.
Néanmoins, je respecte toutes les branches industrieuses de notre société, y compris les universités.Cependant, ce respect s'arrête lorsqu'une bande de scientifiques affolés crachent de leur tour d'ivoire sur ceux qui, sans conflit d'intérêt mais avec intégrité, défendent la santé de ceux qui sont trop unilatéralement informés, entre autres, par le laxisme et l'attitude égoïste de nos « savants ».
J'ose m'avancer en toute confiance et assumer l'entière responsabilité de mon opposition à la vaccination de masse avec des vaccins inefficaces au milieu d'une pandémie d'un virus hautement mutant. L'un de ces lâches universitaires qui ont signé avec empressement cette « pétition » connaît-il une seule publication qui suggérerait que la vaccination dans de telles circonstances peut endiguer une pandémie ou y en a-t-il un seul parmi eux qui soit prêt à être tenu personnellement responsable des conséquences de cette expérience?
Peut-être que ceux dont les noms sont cités ici pour la postérité auraient-ils été plus sages en réfléchissant à cela, avant de rejoindre les rangs de la lie médiatique et de me rabaisser au rang d’esprit sans cerveau?
Ma crédibilité repose sur des années de formation dans les différents sous-domaines relatifs à cette pandémie et se reflète dans les prédictions que je fais. Sur quoi se base la crédibilité de ces universitaires agités? Ils sont très éloignés des événements, se tiennent à l'écart de toute forme de prédiction et n'ont donc rien à craindre. Toutefois, ces postes ne sont plus tenables pour la société, même en période de d’«urgence sanitaire mondiale d'intérêt international »communément admise, car ils n'assument pas de responsabilité sociale. Au lieu de cela, ils orientent le débat vers une polarisation aveugle en humiliant carrément ceux qui, eux, se sentent bien responsables.
Conclusion : On ne peut ignorer mes connaissances approfondies en virologie, en immunologie et en vaccinologie. C'est précisément grâce à ces connaissances approfondies que j'ai été recruté, à l’époque, par les plus prestigieuses entreprises de vaccins et les organisations internationales de santé.
La lie de nos médias, et maintenant de nos universités, peut essayer de me discréditer avec n'importe quelle attaque ad hominem vicieuse, mais mes connaissances et ma perspicacité scientifique ne peuvent que difficilement être remises en question.
Elles ne peuvent certainement pas être remises en question par des politiciens qui sont totalement analphabètes en la matière et ne jouent que le rôle d’organisateurs parfaits de l'échange entre experts aux opinions opposées.
Elles ne peuvent pas non plus être remis en question par une horde d’universitaires excités qui préfèrent exceller dans la sournoiserie plutôt que de se donner la peine de participer à un tel forum. De cette manière, l'échange reste caché à la majorité des citoyens et dépourvu de toute interaction. C'est précisément cette interaction et les conclusions résultant d'un débat scientifique ouvert qui profitent au citoyen. Tout citoyen doté d'un minimum de bon sens comprendra désormais, je l'espère, qu'une telle mentalité soulève d'énormes questions.
L'accumulation dans un dossier parlementaire d'une série de questions suivies d'une série de réponses ne sert à rien lorsque les esprits sont fermés. Après tout, l'esprit est comme un parachute, il ne fonctionne que lorsqu'il est ouvert. Néanmoins, je ferai mon devoir en âme et conscience, ne serait-ce que pour planter des graines critiques dans certains esprits.
J'appelle donc la population à continuer à réclamer le droit à un tel débat.
Ce n'est que dans le cadre d'un débat scientifique ouvert et honnête entre des experts indépendants dans un cadre multidisciplinaire que les limites de la vaccination de masse et le sens ou le non-sens de la poursuite de cette expérience pourront être examinés de manière crédible et expliqués à la population. Toute politisation de ce débat et toute discrimination entre parties de la population ne pourront que faire obstacle à une solution humaine à la crise actuelle.
27 janvier 2022
Aux membres de la Commission Santé de la Chambre, au sujet de la qualité d’expert scientifique
Madame, Monsieur,
Nous sommes préoccupés par la désignation et l’audition de Mr Geert Vanden Bossche par laCommission de la Santé et de l’Égalité des chances sur la vaccination obligatoire ce mercredi26/1/2022. Mr Vanden Bossche y est auditionné sous l’affiliation 'Voice for Science and Solidarity',organisation indépendante obscure composée de deux membres dont Mr Vanden Bossche qui s'y présente comme docteur en Sciences, spécialiste en virologie ayant une expérience professionnelle dans le développement des vaccins. Il est donc évident que les parlementaires entendront Mr Vanden Bossche pour son expertise scientifique au sujet de la vaccination.
Notre préoccupation découle de l’évidence suivante: le statut d’expert scientifique ne peut pasêtre acquis par simple auto-proclamation, surtout si ce statut justifie la remise d’un avis ou d’une opinion auprès de la plus haute instance législative d’un état démocratique. Bien sûr un parlement peut entendre des opinions basées sur d’autres raisonnements que la science. Mais les parlementaires et leurs électeurs ne peuvent être dupés lorsque ces avis sont malhonnêtement présentés comme une expertise scientifique. Mr Vanden Bossche n’est pas un expert scientifique reconnu par des pairs. La communauté scientifique internationale dispose d’outils efficaces, partagés, consensuels et objectifs pour évaluer les activités et impacts scientifiques de toute personne qui se présente comme activement impliquée dans les sciences biomédicales et de santé. Le curriculum vitae de Mr Vanden Bossche (annexe) n’indique aucune contribution scientifique académique, biotechnologique ou pharmaceutique significative ou évaluable en matière de médecine humaine, vaccins, immunologie, virologie, ou santé publique. L’absence quasi totale de publications récentes (< 5 ans) répertoriées dans PubMed en atteste. Ces deux paramètres suffisent à invalider sa qualité d’expert. Des scientifiques informés en immunologie, virologie ou vaccins, décèlent instantanément l’ineptie scientifique de ses propos écrits ou filmés, parsemés de contre-vérités, diffusés exclusivement sur des médias sociaux ou les pages Web de son organisation, et ne bénéficiant à l'évidence d’aucune relecture critique par des pairs. Malheureusement, de telles évaluations ne sont pas à la portée de non-experts, ce qui explique l’écho que Mr Vanden Bossche trouve sur certaines plateformes médiatiques.
Nous saisissons cet exemple caricatural pour nous permettre de vous recommander de clarifier publiquement en quelle qualité toute personne auditionnée remet un avis ou une opinion. Si cette qualité est celle d’un expert scientifique, nous proposons que le statut d’expert soit systématiquement validé par au moins deux des six instances suivantes : FondsNational de la Recherche Scientifique (FNRS), Fonds voor Wetenschappelijk Onderzoek (FWO) et académies royales de médecine (ARMB et KAGB) ou des sciences (ARS et KVAB) de Belgique.L’évaluation par ces instances d’un curriculum vitae synthétique (2 pages max) et la mesure objective de l’activité scientifique récente (<5 ans) de tout candidat expert ne demanderont pas plus de quelques jours, et contribueraient à protéger notre démocratie des dérives inquiétantes de la génération, propagation et amplification de contre-vérités.
En vous remerciant, Madame, Monsieur, pour l'attention que vous pourrez réserver à cette recommandation, nous vous prions de bien vouloir agréer l'expression de notre haute considération.
Fabienne Andris (ULB), Kevin Ariën (ITG Antwerp), Georges Casimir (ULB), Pierre Coulie (UCLouvain), Eric Cox(UGent), Kai Dallmeier (KULeuven), Nicolas Dauby (ULB), Jean-Michel Dogné (UNamur), Laure Dumoutier(UCLouvain), Dirk Elewaut (UGent), Jean-Michel Foidart (ULg), Laurent Gillet (ULg), Olivier Gilliaux (CHUCharleroi), Jean-Christophe Goffard (ULB), Stanislas Goriely (ULB), Cyril Gueydan (ULB), Filomeen Haerynck(UGent), Niels Hellings (UHasselt), Piet Hoebeke (UGent), Véronique Kruys (ULB), Bart Lambrecht (UGent),Oberdan Leo (ULB), Geert Leroux-Roels(UGent), Catherine Linard (UNamur), Sophie Lucas (UCLouvain), ArnauldMarchant (ULB), Geert Meyfroidt (KULeuven), Isabelle Meyts (UZLeuven), Thomas Michiels (UCLouvain), MurielMoser (ULB), Michel Moutschen (ULg), Eric Muraille (ULB), Benoit Muylkens (UNamur), Guillaume Oldenhove(ULB), Ghislain Opdenakker (KULeuven), Jean-Christophe Renauld (UCLouvain), Niko Speybroeck (UCLouvain),Jan Tavernier (UGent), Nicolas van Baren (UCLouvain), Benoit van den Eynde (UCLouvain), Pierre van der Bruggen(UCLouvain), Marianne van der Sande (ITG Antwerpen), Jutte van der Werff ten Bosch (UZ Brussel), Laurence VanMelderen (ULB), Dimitri Vander Linden (UCLouvain), Luc Vanhamme (ULB)
Les signataires sont membres de la communauté scientifique médicale et biomédicale belge et sont actifs en recherche ou clinique en immunologie, virologie, infectiologie, pédiatrie, épidémiologie ou santé publique.
Geert Vanden Bossche received his DVM from the University of Ghent, Belgium, and his PhD degree in Virology from the University of Hohenheim, Germany. He held adjunct faculty appointments at universities in Belgium and Germany. After his career in Academia, Geert joined several vaccine companies (GSK Biologicals, Novartis Vaccines, Solvay Biologicals) to serve various roles in vaccine R&D as well as in late vaccine development.
Geert then moved on to join the Bill & Melinda Gates Foundation’s Global Health Discovery team in Seattle (USA) as Senior Program Officer; he then worked with the Global Alliance for Vaccines and Immunization (GAVI) in Geneva as Senior Ebola Program Manager. At GAVI he tracked efforts to develop an Ebola vaccine. He also represented GAVI in fora with other partners, including WHO, to review progress on the fight against Ebola and to build plans for global pandemic preparedness.
Back in 2015, Geert scrutinized and questioned the safety of the Ebola vaccine that was used in ring vaccination trials conducted by WHO in Guinea. His critical scientific analysis and report on the data published by WHO in the Lancet in 2015 was sent to all international health and regulatory authorities involved in the Ebola vaccination program. After working for GAVI, Geert joined the German Center for Infection Research in Cologne as Head of the Vaccine Development Office. He is at present primarily serving as a Biotech / Vaccine consultant while also conducting his own research on Natural Killer cell-based vaccines.
Email: info@voiceforscienceandsolidarity.org